Le Coulou, le Jarbonnet, les Highlands et les Dinosaures
Le 28.06.2021, par VeroniqueG-261, 4 commentaires - Sortie liée : « Traces de dinosaures, le Coulou et le Jarbonnet »
Le Coulou, le Jarbonnet, les Higlands et les Dinosaures
Un départ à la fraîche du belvédère du bois du Devin sur la commune de Hautecourt-Romanèche.
La sortie avait bien commencé avec un chemin en descente.
Mais les choses sérieuses ont commencé avec la montée du Coulou.
La pente soutenue a calmé les discussions, l'arrivée au pied des falaises d'escalade nous a permis de reprendre notre souffle et de nous hydrater.
Les petits et les grands noms de la falaise ( Vercingétorix et compagnie) ont mis tout le monde d'accord.
Nous sommes repartis sur la dernière portion de sentier avant d'arriver au Coulou.
Le lieu était ombragé donc agréable pour effectuer une petite pause.
Direction les Rochers du Jarbonnet qui surplombent la rivière d’Ain.
Après avoir admiré les alentours des nombreux points de vue, nous prenons la direction d'une zone plus ombragée où nous ferons une rencontre un peu surprenante, des vaches « Highland », couchées paisiblement le long du chemin.
Nous reprenons la direction du Coulou puis la direction du belvédère du bois du Devin en passant par le sentier de la Cadole.
Comme convenu, nous pique-niquons au belvédère avant de prendre la direction d’un nouveau chemin créé depuis peu (Merci à Monsieur JUILLERON).
Avant d'arriver à ce nouveau chemin, nous pouvons admirer un des plus beaux points de vue du secteur sur la rivière d’Ain, le Mont Balvay et le Jarbonnet.
La chaleur commence à se faire pénible.
La moindre parcelle d’ombre est la bienvenue.
Après avoir longé la crête, nous descendons tranquillement vers les traces de Dinosaures de Villette.
Nous croisons la route d’une petite vipère qui semble avoir une tenue de camouflage, tant elle est discrète.
Arrivés aux traces de Dinosaures, certains parmi nous ignoraient que voilà 150 millions années, notre secteur était une mer peu profonde et qu’elle était habitée, entre autre, par des Sauropodes, d’une longueur de 30 mètres pour 30 tonnes.
C'est alors qu'il faut remonter sur la crête pour atteindre le belvédère du bois du Devin.
La montée sera éprouvante avec une température très haute et peu d'espace ombragé.
